• Mais ils font quoi nos 2 loustics, avec ce journal d’annonces gratos ???? se demandait le patron du bistrot
Ne tenant plus, il leur lança :
• Vous cherchez une bagnole, ou un dentier d’occasion ?
• Rien, rien répondit Waldorf tout en gardant le regard fixé sur le ‘’petit palois ‘’ (comme si un palois pouvait être grand)
• Mais dites-moi, je vois bien que vous cherchez quelque chose et je peux peut être vous aider ? demanda le patron à la curiosité exacerbée.
• On cherche, un mec qui recherche du boulot le dimanche entre 14h45 et 15h30, pour donner une utilité au banc de la B de l’USB, lui répondit Statler sérieux comme un candidat aux cantonales qui vous propose monts et merveilles.
• Vous n’êtes jamais contents, ils ont gagné et en plus ils sont premiers, qu’est ce qu’il vous faut de plus ? demanda le bistroquet à notre paire de râleurs.
• 2 jaunes……………………..avec du caramel.
• Du caramel !!!!!!le patron interloqué
• Oui du caramel, il faut sortir un peu…., 2 jaunes caramel STP, répéta Waldorf
• J’ai pas de caramel………..le patron désabusé
• Bon, bé si t’as pas de caramel, tu le remplace par une 2ème boule de jaune, Statler tout sourire.
• Le patron s’exécuta tout en ‘’mourgagnant’’ des mots que je ne peux pas décemment répéter. Par contre, je peux les écrire : les cons ils n’ont nické (nické comme l’équipementier de l’équipe de France de………..triste rugby). Et l’équipe 1, elle a gagnée elle aussi, finit ‘il par leur demander.
• Ouais, ils ont bien joué, surtout derrière, lui répondit Waldorf
• Normal, ils étaient 8 derrière, le reprit Statler hilare, mais c’est bien, ils ont encore gagné et ils vont pouvoir préparer les demis.
• C’est les joueurs qui font les demis !!!!!!, s’étonna le tenancier les yeux grands ouverts.
• Toi, quand tous les cons danseront, tu seras pas sur l’estrade, lui répliqua Waldorf, inarrêtable (comme notre 8 (bis) en fin de match).
• Tiens, fît Statler en regardant le journal, demain c’est la saint LOUISE grande ou petite, qu’ils disent. Avant de regarder son ami avec un large sourire, qui lui rendit accompagné d’un méchant clin d’œil. Et ce qui devait arriver, arriva….
• SALOPARDS !!!!!!!!!!!!!!!!, s’écria le patron.